Pourquoi cet affixe?
Le choix de notre affixe fut une étape importante dans notre projet d’élevage. Nous avons donc établi une liste de noms possibles et nous avons finalement retenu Du Temple de Ginkaku-ji.
A l’origine, nous avons découvert l’existence de ce temple grâce au journal de bord d’un ami parti en voyage au Japon. En effet, il a eu l’occasion de visiter le temple et ses jardins bien connus des japonais. Ce temple attira fortement notre attention de part son histoire, sa beauté, son étang et ses jardins botanique et de sable.
Petit récapitulatif historique :
Le Ginkaku-ji (???, le temple au pavillon d’argent) est un temple bouddhiste situé dans le quartier de Higashiyama à Kyoto au Japon. Kyoto a été la capitale du Japon et lieu de résidence de l’empereur pendant un millénaire avant la prise du pouvoir par le shogun Tokugawa Ieyasu qui déplaça le pouvoir à Edo (ancien nom de Tokyo). Kyoto demeure cependant la capitale historique du Japon et de très nombreux temples et sanctuaires (plus de 2000) y sont construits.
Il a été construit en 1482 par le shogun Agshikaga Yoshimasa, qui voulait rivaliser avec Kinkaku-ji, le pavillon d’or, construit par son grand-père Agshikaga Yoshimitsu. Son intention était de couvrir le pavillon d’argent, mais à cause de l’intensification de la guerre Onin, qui avait éclaté quelques années plus tôt, en 1467, la construction a été arrêtée et le pavillon n’a jamais été couvert d’argent.
Le bâtiment, qui devait être un monument ostentatoire, est maintenant pris en exemple pour montrer le raffinement dans la simplicité de la culture japonaise. Beaucoup de Japonais pensent qu’il est plus beau que son homologue doré.
Comme le Kinkaku-ji, le Ginkaku-ji a été construit pour servir de retraite de calme et de solitude pour le Shogun. S’étant retiré dans sa villa, il est dit que Yoshimasa s’asseyait dans le pavillon, contemplant le calme et la beauté des jardins, pendant que la guerre Onin empirait et réduisait Kyoto en cendres. En 1485, Yoshimasa devint un moine bouddhiste zen et après sa mort le temple fut renommé Jisho-ji.
Après lecture de ce bref historique, vous comprendrez sûrement que cet affixe s’est bel et bien imposait à nous de part notre conception et notre philosophie d’élevage.
A l’origine, nous avons découvert l’existence de ce temple grâce au journal de bord d’un ami parti en voyage au Japon. En effet, il a eu l’occasion de visiter le temple et ses jardins bien connus des japonais. Ce temple attira fortement notre attention de part son histoire, sa beauté, son étang et ses jardins botanique et de sable.
Petit récapitulatif historique :
Le Ginkaku-ji (???, le temple au pavillon d’argent) est un temple bouddhiste situé dans le quartier de Higashiyama à Kyoto au Japon. Kyoto a été la capitale du Japon et lieu de résidence de l’empereur pendant un millénaire avant la prise du pouvoir par le shogun Tokugawa Ieyasu qui déplaça le pouvoir à Edo (ancien nom de Tokyo). Kyoto demeure cependant la capitale historique du Japon et de très nombreux temples et sanctuaires (plus de 2000) y sont construits.
Il a été construit en 1482 par le shogun Agshikaga Yoshimasa, qui voulait rivaliser avec Kinkaku-ji, le pavillon d’or, construit par son grand-père Agshikaga Yoshimitsu. Son intention était de couvrir le pavillon d’argent, mais à cause de l’intensification de la guerre Onin, qui avait éclaté quelques années plus tôt, en 1467, la construction a été arrêtée et le pavillon n’a jamais été couvert d’argent.
Le bâtiment, qui devait être un monument ostentatoire, est maintenant pris en exemple pour montrer le raffinement dans la simplicité de la culture japonaise. Beaucoup de Japonais pensent qu’il est plus beau que son homologue doré.
Comme le Kinkaku-ji, le Ginkaku-ji a été construit pour servir de retraite de calme et de solitude pour le Shogun. S’étant retiré dans sa villa, il est dit que Yoshimasa s’asseyait dans le pavillon, contemplant le calme et la beauté des jardins, pendant que la guerre Onin empirait et réduisait Kyoto en cendres. En 1485, Yoshimasa devint un moine bouddhiste zen et après sa mort le temple fut renommé Jisho-ji.
Après lecture de ce bref historique, vous comprendrez sûrement que cet affixe s’est bel et bien imposait à nous de part notre conception et notre philosophie d’élevage.